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3 juillet 2014 4 03 /07 /juillet /2014 22:47

 

 

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Ce petit chien a un besoin TRES URGENT d’une famille d’accueil (ou mieux, d’un adoptant).

Il est affectueux, ok avec les autres chiens et chats (mais pas de poules, pas de lapins, pas de gros chiens dominants). Suite  à la grave maladie de sa maitresse qui ne retournera plus chez elle, il a été recueilli par la fille de celle-ci, mais il ne s'entend pas avec l'un de ses chiens dominants et il ne supporte pas d'être enfermé dans un enclos.

Sans solution et en ayant tout tenté, on lui cherche une famille, ce qui est sa derniere chance (ce peut être un adoptant ou une famille d'accueil, tous les frais seraient payés...). Même pour un ou plusieurs mois, cela lui accorderait un sursis indispensable à sa survie. Sinon, il est gravement menacé d'euthanasie.

Il est castré et identifié. 

Il a 9 ans, il est propre, calme, il a juste besoin d’un petit coin dans votre maison et d’un petit jardin (auquel cas il n’est pas indispensable de le promener).

Je le connais personnellement, je peux en témoigner.

 

Sa vie est en grand danger immédiat. Pouvez vous l’aider svp ?  

 

Merci de me contacter (carmen.desor@wanadoo.fr)

 

 

 

 

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2 juillet 2014 3 02 /07 /juillet /2014 21:55

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"A Montmorillon, j'ai fait de belles rencontres. Notamment ce poète vagabond palefrenier qui m'a présenté sa chienne nommée "PERESONNE". Elle était grande, belle et bonne et, pour quelques euros, il m'a donné ce poème..." (Muriel Verstichel, 22 juin 2014)


 

Boule de poils


Certains sont dans un jardin

Parfois au bout d'une chaîne

Et servent de gardiens

 

Certains sont là pour faire bien

Et les voir en manque d'amour fait de la peine

 

Lorsque l'on vit tous les jours avec son chien

Il devient notre double autant que notre gamin

Notre psy autant que notre frangin

Notre bouillote autant que notre copain

Nos oreilles autant que notre ange-gardien

Et le voir tous les jours épanoui et sain

Fait notre bonheur au quotidien

 

Merci mon frère

 

Yusuke (désolée, la bonne orthographe du nom, qui était manuscrit, est incertaine)

 

 

Merci à cet auteur pour ce magnifique poème

 

 



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2 janvier 2013 3 02 /01 /janvier /2013 22:01

 

 

De la Note à la Plume 

 

et les Editions Chopena

 

vous présentent leurs meilleurs voeux pour 2013

 

 

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J'aimerais dédier cette année 2013 à tous ces pauvres chiens et chats laissés pour compte qui pleurent derrière des barreaux... Et je vous présente BOB, l'un de ces chiens, qui m'a particulièrement touchée et qui espère passer les dernières années de sa vie sous la protection d'une main aimante, au coeur de la chaleur d'un foyer. Il vous attend, comme tous ses frères d'infortune, au Refuge de Pecquencourt (03.27.86.85.85 / 07.77.96.88.46) 

 

 

 

 

 

 

  BONNE CHANCE, MON BOB !

 

 

 

 

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24 décembre 2012 1 24 /12 /décembre /2012 22:52

 

Après les textes bouleversants Au fond du vieux refuge et Le vieux chien et l'enfant, en ce jour de Noël, quelques autres beaux textes de mon ami Gilbert DUMAS...   

 

   

Le BÂTARD et le CLOCHARD.

 

Je suis un beau « bâtard » qui fête ses deux ans,

Et je vis dans la rue depuis pas mal de temps.

Je n’ai pas choisi, tout petit il m’a pris à ma mère,

Et depuis, je suis là, le compagnon de sa misère.

 

Tous les jours, tous les deux, on fait la manche,

Du matin du lundi, jusqu’au soir du Dimanche.

C’est pour quelques Euros, car il faut bien manger,

Un peu pour lui, beaucoup pour moi, faut l’avouer.

 

Toujours poli, toujours gentil, au coin de ce trottoir,

Nous venons tard le matin, et repartons tôt le soir.

Elle est longue l’attente, aux pieds de tous ces gens,

Qui jettent un dur regard, à ces gueux, ces mendiants.

 

Il me tient dans ses bras, tendrement il me caresse,              

Baissant les yeux, honteux, devant tant de détresse,

Condamnés que nous sommes à vivre de la quête,                    

Nous savons que pour nous ce n’est jamais la fête.

 

Nous sommes heureux pourtant, nous nous aimons,

D’un Amour sain, d’un Amour pur, de la passion.

Nous ne possédons rien, et ne sommes pas jaloux

De voir ce qui se passe, ici,  partout autour de nous.

 

Il est un homme, je suis un chien, drôle de couple,

Mais nous partageons tout, et la vie est plus souple,

Que pour ceux qui pensent au succès, et à la réussite,

Prêts à se battre ou se haïr…   pour réussir plus vite.

 

Alors, gens de bonnes manières, responsables civils,

Qui faites les beaux jours des villages et des villes,

N’enlevez jamais à cet homme, nommé « Le Clochard »,

Ce vilain chien, son  seul Ami, bien qu’il fût un «bâtard».

 

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CHAT, TU ES MON AMI…

 

 

Chat, tu es mon ami, mon confident muet,

Tu es la poésie, tu es l’art d’être aimé.

Tu as l’œil perçant au fond duquel scintille,

Le désir envoûtant d’une étoile qui brille.

 

Cet œil est une Agathe version multicolore,

Il demande l’Amour, l’attend ou bien l’implore,

Tout ton corps se prépare, offert à la caresse,

Aussi tendu de joie qu’une jeune maîtresse.

 

A peine que ma main ne vienne t’effleurer,

Que tu danses déjà, ne sachant où passer.

Tout ton être me frôle, électrique, impatient,

Recherchant le plaisir traduit en ronronnant.

 

Il suffit que je  te touche et le miracle opère

Tu deviens un enfant, dans les bras du père.

Je te prends contre moi, monte sur mon épaule,

Ta douceur me convient, c’est parti, je te cajole.

 

Tes griffes sont rentrées, tes pattes sont douces,

Tu rebondis sur moi, comme balle de mousse

J’arrêterais le temps, sublime instant de paix,

Pour te garder, contre mon cœur, toute l’éternité.                               

 

 

 

    Gilbert DUMAS

                   Résidence « La Margotine  ~  Quartier Brûlats

                   26800 – PORTES – LES – VALENCE

                   Gilbert.dumas2607@orange.fr

 

 

Désolée Gilbert, je n'ai pu réussir à copier les photos qui étaient reprises sur vos documents, ceux ci étant en fichier word... Pourriez vous me les retransmettre sous forme de fichier JPG ?

 

 

 

 

 

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29 octobre 2012 1 29 /10 /octobre /2012 21:53

 

Amis des Animaux, n'hésitez pas à aider le Refuge de Pecquencourt qui se dévoue pour sauver les chiens abandonnés (et chats à l'occasion !) , leur apporter protection et affection et leur trouver un nouveau foyer. Le moindre petit geste sera le bienvenu !

 

 

 

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Et voici Vagabond, le chien mascotte, qui viendra certainement vous accueillir :

 

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Et les photos de quelques uns des chiens qui attendent (à ce jour) de trouver enfin un peu d'amour et de bonheur... Beaucoup d'autres attendent également, et chaque adoption permettra à un nouvel arrivant de trouver un box et un espoir d'une vie belle et nouvelle.  

 

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Il s'appelle Bob, il a huit ou neuf ans, il est très affectueux et m'a beaucoup émue...

 

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Eux, et beaucoup d'autres vous attendent pleins d'espoir. Ce sont tous des "coeurs entourés de poils" qui ont beaucoup à offrir. Venez les rencontrer !

 

Vous trouverez toute information nécessaire sur le site internet du refuge.

 

 

Et retrouvez également Les Amis des Animaux de Pecquencourt sur Facebook...

 

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NB : ce refuge ne pratique pas l'euthanasie, vous pouvez donc l'aider en toute confiance. Bravo à tous ces bénévoles,et un grand merci pour eux !

 

 

  

Photos par Carmen Desor

 

 

 

 

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9 septembre 2012 7 09 /09 /septembre /2012 16:37

 

Soucieuse de donner la parole aux animaux souffrants et à ceux qui savent si bien exprimer cette souffrance, je suis très heureuse de reproduire sur ce blog les magnifiques textes de Gilbert Dumas, en lui renouvelant tous mes remerciements et ma reconnaissance.

 

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  Milor, mai 2009, refuge de Condé/Escaut

 

 

 

 LE VIEUX CHIEN et L’ENFANT !

 


Je les ai tant aimés, et ils m’ont tant donné,

Je revois leurs yeux quand ils me fixaient,

Je ne pourrai jamais vraiment  les oublier.

J’entends encore leur cœur, contre le mien serré.

 

Pourtant ils sont partis, me laissant sur la route.

Là, ils ont mis en moi la grande peur du doute,

De n’avoir pas su faire les signes qu’il fallait,

Ou les gestes pour dire combien je les aimais.

 

Je n’ai jamais compté le nombre de caresses,

Les heures consacrées à capter la tendresse,

Complicités du jour, compagnie de la nuit,

Instants sacrés, qui me manquent aujourd’hui.

 

Le monde est cruel et l’humain n’est pas tendre,

Les Animaux sont là pour nous faire comprendre

Que l’Amour se rencontre mais ne s’achète pas,

Il se trouve souvent… en lui tendant les bras.

 

Des yeux qui vous implorent, une queue qui remue,

Un miaulement, un aboiement, sont un appel qui tue.

Ils voudraient bien vous dire « c’est moi qui te choisis »,

Mais hélas bien trop vite, déjà, vous êtes repartis.

 

Nous resterons ici, dans ces cages affolantes, carcérales,

Merci pour les bons soins grâce à la protection Animale,

Certains pour quelques temps et d’autres pour toujours,

Espoir sans avenir, quête éperdue d’un impossible Amour.

 

Puis tu es arrivé, charmant petit enfant, tu t’es mis à pleurer,

Tes doigts se sont serrés sur la grille que tu n’as pas lâchée.

La pluie de tes larmes, les sanglots de ta voix, déchirants

De sincérité, de joie, d’Amour mêlés, ont touché tes parents.

 

Oh ! Que tu étais fier ! Tenir en ta main la laisse du bonheur,

Te rendait bien plus fort, puissant, tout en ouvrant ton cœur.

Tu as gagné petit, tu as gagné pour toi, tu as gagné pour lui,

Maintenant tu es deux, il veillera sur toi qui fus son seul Ami.

 

Qui a  dit que les vieux chiens ne s’adoptent jamais,

Il a plus de 10 ans, mais son cœur est prêt à t’aimer.

Son destin est entre tes mains, tu viens de lui sauver la vie,

Trois ans qu’il était là ; je suis content, son calvaire est fini.

 

 

Texte de Gilbert DUMAS  Résidence « La Margotine »  Quartier Brûlats

26800 – PORTES-lès-VALENCE Tél : 06.47.14.49.97 gilbert.dumas2607@orange.fr

 

 

 

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Milor a été adopté le 14 juillet 2009, par une famille qui voulait sauver un vieux chien... Il a été choisi par les enfants et son histoire illustre à merveille le texte de Gilbert Dumas. Il a vécu aimé et entouré durant deux ans et demi. Trop peu, pour sa famille, mais je sais que pour lui, c'était déjà une éternité de bonheur...

 

 

 

 

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4 mars 2012 7 04 /03 /mars /2012 10:21

 

 

Je me permets de reproduire ici le très juste et magnifique texte de Richard Biby communiqué sur Facebook par Solidarité Animale et Planétaire :

 

 

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15 février 2012 3 15 /02 /février /2012 16:30

 

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Ton dernier Noël, une ultime photo, une étreinte, complice, et cette étincelle dans tes yeux opaques, ton généreux sourire éclatant qui découvrait tes maigres crocs et ta languette rose. Le bonheur, comme une injure à ta maladie. Tu étais bien fatigué, Milor, de ces traitements innombrables et sans fin dissimulés dans la pâte molle d’un fromage dont, fort heureusement, tu raffolais ; de ces piqûres salvatrices qui te remettaient sur les rails pour quelques jours encore, pour quelques semaines..., parce que chaque minute supplémentaire était un cadeau du Ciel.

 

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C'est que tu en as connu, des grandes et des petites joies...

 

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 Ils m'emmenaient partout... J'ai même vu la mer !

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Alors, ce dimanche de janvier, tu t’es éclipsé, presque sur la pointe des pieds. Tu as choisi ce matin où Pascale n’était pas là, elle qui t’avait toujours accompagné en urgence chez le vétérinaire, parfois en pleine nuit. Elle n’assistera pas à ta dernière révérence, il fallait que tu lui épargnes cette épreuve.  C’est Jérôme qui a tenu dans les bras SON Milor sur la table du docteur qui t’aimait tant lui aussi. Aucun d’eux n’aura à décider du geste de ta délivrance, aucun d’eux ne voulait s’y résigner. Alors tu es parti en silence, dans les bras de Jérôme, sous la caresse de sa main qui réconforte, tandis qu’ils en débattaient en chuchotant presque, avec de drôles de tremolos dans la voix… Il fallait que tu leur épargnes cette épreuve, à eux aussi... Tu es parti en paix. « Il ne faut pas qu’ils soient tristes, pensais-tu peut être,  je voudrais bien rester encore, mon Dieu, je voudrais tant rester, ils m'aiment tant, et je suis si bien avec eux. Mais mes forces m’abandonnent, je n’en peux plus, je leur demande pardon de leur faire tant de peine. Ils me retrouveront un jour, je le sais, et avant ce moment merveilleux, j’habiterai leur cœur chaque heure de leur vie, je serai leur ange, je serai leur guide, j'apporterai la consolation, il ne faut pas qu’ils soient tristes… »  

Le feu a consumé ta chair et tes os. Tu restes ainsi près d'eux, comme un baume à leur amour inconsolé. Mon Milor, après dix ans de refuge, tu n'étais plus un chien sans collier, non. Tu avais un foyer bien à toi, tu étais LEUR chien, ils étaient TA famille. Il fallait bien que tu les trouves, ce fut ta victoire, comme un feu d'artifice en ce 14 juillet 2009. Ah, comme tu as salué chacun de tes compagnons d'infortune lorsqu'ils t'ont emmené... ! Marquant le pas à chaque box, aboyant un au-revoir à chacun d'entre eux. Tu l'avais bien méritée, ta part de bonheur, même si cet état de grâce t'était encore inconnu, si difficilement concevable... Tu commençais pourtant par être envahi de l'étrange sentiment  que derrière la porte du refuge, il y avait la lumière, les caresses, les mots d'amour, la bonne nourriture, la chaleur, le confort, les promenades et les soins dispensés sans compter. Et la certitude que plus jamais tu ne reviendrais dans ta prison.

Les Vache-qui-rit sont longtemps restées dans le réfrigérateur. Personne ne voulait commettre le sacrilège d'y toucher. Ta gamelle aussi, est longtemps restée près de celle de ton compagnon. Peut-être y est-elle encore... Le petit Louis t'a beaucoup réclamé, on lui a dit que tu étais au Paradis des Animaux, cela lui suffit, on accepte mieux quand est petit. Angèle est très triste, Pascale et Jérôme sont inconsolables et te pleurent sans arrêt. Tu leur manques tant.

 

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                                                       Avec mon frère Happy, qui me cherche partout...

 

Dix ans de refuge, c'est beaucoup, beaucoup trop. Deux ans et quelques mois d'amour, c'est bien peu, et c'est tant à la fois, parce que c'est la part de ta vie que tu as emportée avec toi dans la lumière, avec tous ceux que tu as aimés.

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 Au revoir, Milor, nous t'aimons tous 

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Milor, dix ans de refuge, et une autre vie du 14 juillet 2009 au 15 janvier 2012. Repose en paix, mon Ange...

   

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30 décembre 2011 5 30 /12 /décembre /2011 20:02

 

Certains chiens, chats et autres animaux ont heureusement le bonheur d'être aimés et choyés de leur vivant. Si vous êtes l'un des ces maîtres aimants et que vous souhaitez offrir à votre petit protégé une dernière demeure au milieu d'un jardin, parmi les fleurs, les pelouses et les arbres, je vous recommande le Cimetière pour Animaux de Chemy, près de Seclin en région lilloise. Ma petite chienne teckel y repose.

 

 

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Des épitaphes émouvantes...

 

 

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Les pigeons aussi ...

 

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Quelques mots tout simples ...

 

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Et bien d'autres épitaphes encore, au détour d'un arbre ou d'un massif de roses, qui toutes témoignent de l'attachement porté par leurs maîtres à leurs petits compagnons. De l'ancien cimetière aux parties les plus récentes, une jolie promenade au pays de l'amour inconsolé...

 

 

 

CIMETIERE DES ANIMAUX DE CHEMY

Rue du Château

59147  Chemy

 

Tel. 03.20.90.31.20

 

 

Photos par Carmen Desor

 

 

 

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29 décembre 2011 4 29 /12 /décembre /2011 20:19

 

Je reproduis ici un texte de Gilbert Dumas, communiqué sur facebook par Solidarité animale et planétaire.

 

BOULEVERSANT...

Après ce texte, les larmes, le silence, et un seul mot... PARDON...

  

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Au fond du vieux refuge, dans une niche en bois,
Depuis deux ans je purge, d’avoir trop cru en toi.
Tous les jours je t’attends, certain que tu viendras,
Tous les soirs je m’endors, sans que tu ne sois là.

Pourtant, je suis certain, je te reconnaîtrai.
Viens me tendre la main, je te la lècherai.
Tu te souviens très bien, quand je sautais sur toi,
Que tu me caressais, que je dansais de joie.

Que s’est il donc passé pour que ce 16 juin,
Heureux que tu étais, je me rappelle bien,
Tu sifflais, tu chantais, en bouclant les valises,
Tu m'aies attaché, là, devant cette église.

Je ne peux pas comprendre, et ne croirai jamais
Que toi, qui fus si tendre, tu sois aussi mauvais,
Peut être es-tu très loin, dans un autre pays,
Mais quand tu reviendras moi j’aurai trop vieilli.

Ton absence me pèse, et les jours sont si longs,
Mon corps s’épuise, et mon cœur se morfond,
Je n’ai plus de goût à rien, et je deviens si laid,
Que personne, jamais, ne voudra m’adopter.

Mais moi je ne veux pas que l’on me trouve un maître,
Je montre bien mes dents, et je prends un air traître,
Envers qui veut me prendre, ou bien me caresser,
Pour toutes illusions, enfin, leur enlever.


Car c’est toi que j’attends, prêt à te pardonner,
A te combler de joie, du mieux que je pourrai,
Et je suis sûr, tu vois, qu’ensemble nous saurions
Vivre des jours heureux, en réconciliation.

Pour cela, je suis prêt à faire de gros efforts,
A rester près de toi, veiller quand tu dors,
Et à me contenter, même si j’ai très faim,
D’un vulgaire petit os, et d’un morceau de pain.

Je n’ai jamais rien dit, lorsque tu m’as frappé,
Sans aucune raison, quand tu étais énervé,
Tu avais tous les droits, j’étais à ton service,
Je t’aimais sans compter, j’acceptais tous tes vices.
 

Tu m’as mis à la chaîne, ou tu m’as enfermé,
Tu m’as laissé des jours, sans boire ni manger
J’ai dormi bien souvent, dans ma niche sans toit,
Paralysé, raidi, tellement j’avais froid.

Pourtant si tu reviens, nous partirons ensemble,
Nous franchirons en chœur , la porte qui ressemble
A celle d’une prison que je ne veux plus voir,
Et dans laquelle, hélas, j’ai broyé tant de noir.

Voilà, mon rêve se termine, car je vois le gardien,
Puis l’infirmière, et le vétérinaire plus loin.
Ils entrent dans l’enclos, et leurs visages blêmes,
En disent long pour nous, sur ce qu’ils nous amènent.

Je suis heureux, car tu vois dans quelques instants,
Je vais tout oublier, et, comme il y a deux ans,
Je m’endormais sur toi, mon cher et grand ami,
Je dormirai toujours grâce à ... l’euthanasie.

Et s’il t'arrive un jour, de repenser à moi,
Ne verse pas de larmes, ne te prends pas d’émoi,
Pour toi, j’étais qu’un chien, tu préférais la mer,
Tu l’aurais su avant, j’aurais payé moins cher.

À vous tous les humains, j’adresse une prière,
Me tuer tout petit, aurait peiné ma mère,
Mais il eût mieux valu, pour moi, cette manière,
Et vous n’auriez pas eu, aujourd’hui, à le faire.

 
Texte bouleversant de Gilbert DUMAS sur le triste sort des chiens abandonnés.

 

Vous pouvez adresser directement vos appréciations à l'auteur de ce texte, dont voici les coordonnées :


Gilbert Dumas

Résidence La Margotine

Quartier Brûlats

26800 Portes-lès-Valence

Tel. 06.47.14.49.97

gilbert.dumas2607@orange.fr

 

 

 

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